Quarantaide

Après l’an­nonce du président de la répu­blique sur les nouvelles mesures à privi­lé­gier dues au Covid-19, restons mobi­li­sés et soli­daires !

En effet, il est toujours possible de se mobi­li­ser pour les personnes en diffi­cul­tés ! Mais de quelle manière ?

« Inven­tons de nouvelles soli­da­ri­tés »

Quaran­taide est le jour­nal de la soli­da­rité de la SSVP 2.0 dans lequel vous retrou­ve­rez chaque jour, un témoi­gnage, un conseil, une astuce de nos béné­voles pour toujours préser­ver le lien avec les personnes isolées que vous accom­pa­gnez (portage de colis alimen­taire, télé­phone, cour­rier, )

Si vous aussi vous souhai­tez témoi­gner, écri­vez nous sur commu­ni­ca­tion@ssvp.fr

Consul­tez ici l’ap­pel à l’aide lancé par la SSVP


Jour 1

Nous orga­ni­sons ce matin avec trois autres béné­voles une distri­bu­tion excep­tion­nelle de colis alimen­taires. « On a pris une tren­taine de dossiers que nous avons. On a préparé des colis.Les personnes ont été contac­tées et vien­dront à des créneaux horaires précis, en exté­rieur. Ensuite, on avisera au jour le jour, selon les annonces.

Nicole, béné­vole de Lorient


Jour 2

Nous aidons aux devoirs pour des enfants de 6ème et de CE2 via Skype ou What­sapp.

Marie-Claire, béné­vole dans le Tarn


Jour 3

Il était impos­sible pour moi de quit­ter Paris si je ne savais pas le sort qui allait être réservé pour nos amis de la rue.

 

De mon côté, j’ai demandé à mon Grand Père si je pouvais me rendre dans sa maison dans le sud Finis­tère avec 3 accueillis, il a tout de suite accepté.

 

Qu’il soit ici encore remer­cié ! C’est ainsi que nous avons quitté le quar­tier latin, 3 accueillis et moi, mardi à 4H du matin direc­tion le Finis­tère en Bretagne !

 

Depuis hier, avec Cédric, Lucien et Amine, nous vivons confi­nés dans cette char­mante maison dont un petit jardin donne sur une rivière. J’ai bien conscience que ceci reste un luxe que tout le monde ne peut pas se permettre car il néces­site les besoins maté­riels néces­saires au confi­ne­ment, mais l’im­por­tant est que pendant ces quelques semaines voire quelques mois de confi­ne­ment, nous soyons tous ensemble à veiller les uns sur les autres.

 

Nous profi­tons du soleil et de l’en­semble culi­naire que la Bretagne nous offre, que je suis heureux de parta­ger ! Ces quelques semaines à venir s’an­noncent radieuses !

Jean-Baptiste est béné­vole Paris


Jour 4

Nous avons mis en place un système de Colis- lettres- cartes postales à envoyer aux personnes isolées !

L’équipe béné­vole des jeunes de Dijon va mettre en place des colis-lettres-cartes postales pour envoyer aux personnes isolées à qui les béné­voles rendent visite régu­liè­re­ment. Une façon de rompre la soli­tude en ces temps diffi­ciles de confi­ne­ment.

Canuella Ravin béné­vole de Côte-d’Or


Jour 5

Nous avons crée une ligne d’écoute pour les personnes qui ont besoin de parler.

Les béné­voles luttent contre la soli­tude des personnes en situa­tion d’iso­le­ment dans la région d’ille-et-Vilaine
 !

Ils mettent donc en place une ligne d’écoute télé­pho­nique pour les personnes qui ont besoin de parler en cette période de confi­ne­ment.

Voici le numéro de la ligne d’écoute : 02 99 3616 19

De plus, il y aura distri­bu­tion de paniers via des drives

Manuel Rémond


Jour 6

Nous prions pour les personnes en situa­tion de préca­rité durant les heures de maraudes

Après les mesures gouver­ne­men­tales, les asso­cia­tions doivent s’adap­ter au confi­ne­ment.

Après l’an­nu­la­tion des maraudes, les jeunes marau­deurs orga­nisent des prières pendant les heures de maraudes.

L’objec­tif est de toujours garder le lien.

Marc Guillien


Jour 7

Même à distance, les béné­voles de la Société-de-Saint-Vincent-de-Paul se mobi­lisent pour les plus dému­nis.

Anne-Claire, béné­vole Paris


Jour 8

Télé­pho­ner pour connaître les besoins des personnes

En cette période de confi­ne­ment, les béné­voles de Locma­riaquer ont mis en place plusieurs initia­tives pour venir en aide au plus dému­nis : 

  • Régler les factures urgentes des personnes aidées de type EDF, eau, cantines 
  • Télé­pho­ner pour connaitre les besoins des personnes 
  • Dépo­ser les aliments chez les personnes qui en ont besoin.  

Des mesures prises avec toutes les précau­tions possibles et obli­ga­toires dues au Covid-19 

Anne-Marie Caux, Locma­riaquer CD56 (dépar­te­ment Morbi­han) 


Jour 9

 Une lettre pleine d’es­poir pour reprendre les visites des personnes âgées 

Les visites à l’EH­PAD de l’hô­pi­tal de Fontai­ne­bleau et ailleurs n’étant plus possibles, le président de l’équipe de béné­vole du 77, va prépa­rer une petite lettre très simple adres­sée aux personnes âgées visi­tées pour leur rappe­ler la raison pour laquelle ils ne peuvent plus venir les voir et leurs leur dire qu’ils pensent très fort à elles et qu’ils sont impa­tients de pouvoir reve­nir les visi­ter.

Jean-Maxime Baye, Seine et Marne 


Jour 10

Nous orga­ni­sons un service de distri­bu­tion alimen­taire à domi­cile

En colla­bo­ra­tion avec les services sociaux de la Ville d’Épi­nal les béné­voles orga­nisent un nouveau service de distri­bu­tion alimen­taire à domi­cile pour les plus dému­nis en rempla­ce­ment du service de distri­bu­tion sur un site propre.

Patrick Moisan, CD 88 Vosges


Jour 11

Autre­ment dit, main­te­nant c’est à la charge de chaque citoyen où qu’il soit, quel qui soit, de venir en aide aux personnes de la rue et de manière géné­rale aux personnes isolées. 

 


Jour 12

Nous aidons les étudiants en diffi­cul­tés 

Sur les 16 équipes de béné­voles, 10 ont main­tenu la distri­bu­tion alimen­taire en appliquant les consignes des gestes barrières et du lavage des mains.

Certaines équipes ont modi­fiés leur modede distri­bu­tion en faisant de la visite à domi­cile. 

Sur les 3160 personnes (1048 foyers) qu’ils accom­pagnent 60 % ont été alimen­tées. 

Une prochaine distri­bu­tion alimen­taire aura lieu le 31 mars.

Contacté par les étudiants, le campus univer­si­taire a été fermé ainsi que leur épice­rie sociale.

Les béné­voles de Saint-Etienne ont donc prêté leur accueil Ozanam le vendredi pour qu’ils puissent alimen­ter les étudiants en diffi­cul­tés. 

Michel Zano­guera  de la Loire.

 


Jour 13

« Aider à perdu­rer l’exer­cice physique des non-voyants à distance »

Témoi­gnage de Madame Dartige du four­net concer­nant les personnes avec un handi­cap.

Ma voisine, âgée de 70 ans, non voyante et souf­frant d’une scoliose impor­tante, m’a demandé de remon­ter de sa cave, un vélo d’ap­par­te­ment et de le remettre en service.
Ainsi peut-elle, chez elle, conti­nuer un exer­cice physique qu’elle ne peut plus accom­plir dehors en marchant avec l’aide de son auxi­liaire. Elle ne peut égale­ment plus allez à ses rendez-vous médi­caux en raison du confi­ne­ment.
Le cas des personnes non voyantes n’a pas été vrai­ment pris en compte.

Comment peuvent-elles rensei­gner les fameuses attes­ta­tions de dépla­ce­ment, si personne ne les aide chaque jour ?

CD 35 (Ille–et–­Vi­laine), Louis Dartige du Four­net

 


Jour 14

En ces temps diffi­ciles, il est parti­cu­liè­re­ment temps de s’en­trai­der et de faire un geste vers l’autre.

 

Décou­vrez le témoi­gnage poignant de Pierre, un pari­sien qui a décidé de prêter son appar­te­ment, le temps du confi­ne­ment, à Hubert, une personne de la rue.


Jour 15

Hier vous avez décou­vert l’in­croyable soli­da­rité de Pierre qui a prêté son appar­te­ment à Hubert, une personne SDF. Aujour­d’hui c’est à son tour de vous parta­ger son ressenti durant cette période diffi­cile de confi­ne­ment.

 

 


Jour 16

Nous aidons les étudiants migrants en diffi­cul­tés

Nos équipes de béné­voles tentent de récu­pé­rer du maté­riel infor­ma­tique pour envoyer à des étudiants migrants afin qu’ils puissent conti­nuer les cours en e-lear­ning  

Chris­tian, béné­vole dans le Cher.

 


Jour 17

Ils sont trop seuls dans la rue

 

Anne, béné­vole à la SSVP à Paris, vous explique ce que vous pouvez faire pour aider les personnes à la rue.


Jour 18

La soli­tude, ce n’est pas être physique­ment seul mais c’est le senti­ment que personne ne pense à vous.

Les équipes d’Aix en Provence remplace la visite à domi­cile par des appels tous les deux jours.

Fina­le­ment, si elles sont isolées physique­ment, elles le sont moins mora­le­ment et c’est un grand plai­sir de nous retrou­ver au télé­phone fréquem­ment. C’est récon­for­tant pour les personnes accom­pa­gnées de savoir que nous pensons à elles souvent.

Un coup de fil fréquent est fina­le­ment très récon­for­tant . Il y a là, matière à réflexion, dans notre approche des rencontres avec les personnes que nous accom­pa­gnons…

Bernard, béné­vole à Aix-en-Provence.


Jour 19

Vous aussi conti­nuez à faire des actions, adap­tez-les à la situa­tion et je ne vous raconte pas toutes les richesses que vous allez pouvoir appor­ter et celles que vous allez rece­voir en retour.

 

Mague­lonne de la confé­rence jeune d’An­gers, a décidé de conti­nuer d’ai­der durant le confi­ne­ment.


Jour 20

Nous mettons en place des paniers alimen­taires ainsi que des kits pein­ture

Nous avons un atelier d’ex­pres­sion artis­tique pour les personnes accueillies. Depuis le confi­ne­ment, nous dépo­sons donc devant le domi­cile des personnes, un panier repas accom­pa­gné d’un kit de pein­ture afin qu’il conti­nue les acti­vi­tés de l’an­née.

Brigitte, béné­vole à Auxerre.


Jour 21

Vous aussi vous voulez aider les personnes à la rue pendant le confi­ne­ment ? Anne-Claire, jeune béné­vole, vous présente des gestes simples que vous pouvez réalise

 

 


Jour 22

Des nouveaux béné­voles nous sont venus  en aide

Les asso­cia­tions rencontrent de nombreuses diffi­cul­tés et plus parti­cu­liè­re­ment dans les hautes Pyré­nées. Plusieurs asso­cia­tions ont fermé. 

Pour pallier ce problème, nous accueillons avec plai­sir de nouveau béné­voles.

Une béné­vole s’est portée volon­taire pour nous rejoindre quelques matins durant la semaine (mercredi et jeudi).

Nous avons ouvert notre banque alimen­taire le mardi et le jeudi, grâce à l’aide de la Croix rouge qui nous a procuré des masques pour la protec­tion de chacun.

Jeanne Meril­hou, Haute Pyré­nées


Jour 23

D’abord un trio d’hommes, Pierre, Hubert et moi.
Un trio de trois jeunes femmes, Anne-Claire, Colin et Sarah.
Et tout ça s’est fait en trois jours, depuis le moment où Anne-Claire m’a appelé et le moment où Hubert s’est installé dans l’ap­par­te­ment.

Décou­vrez le récit de Jérome, béné­vole à la SSVP, sur le loge­ment de Hubert chez Pierre, une personne à la rue dont vous avez décou­vert le parcours la semaine dernière.

 

 


Jour 24

Les personnes en diffi­cul­tés alimen­taire béné­fi­cient de carte cadeau 

En Seine- et – Marne, plusieurs actions sont effec­tuées durant cette période inédite. 

Contacts fréquents avec les personnes dans le besoin grâce à diffé­rents outils : télé­phone, sms, What­sApp, appels vidéos.

Contact avec les EHPAD du dépar­te­ment pour venir en soutiens aux personnes qui n’ont plus le droit de visite.

Messages à diffé­rentes struc­tures pour connaître les besoins. (CCAS, Curé, EHPAD)

Achat de cartes cadeaux crédi­tées à hauteur de 50 euros par carte pour les personnes en diffi­cul­tés alimen­taire. 

Les béné­fi­ciaires pour­ront utili­ser ces cartes dans un carre­four Market sous forme de paniers de courses. 

Jean-Maxime Baye, Béné­vole de Seine et Marne (77)


Jour 25

En ce moment nous sommes tous très sensibles à l’iso­le­ment des vieilles personnes et donc afin de main­te­nir le lien avec elles, et de soute­nir le person­nel, nous avons mis en place une chaine de soli­da­rité inter­gé­né­ra­tion­nelle en solli­ci­tant des enfants et des familles.

Myriam béné­vole nous explique le projet qu’elle a mis en place pour soute­nir les personnes au sein d’une EPHAD.

 


Jour 26

Achat de maté­riel pour les personnes âgées

Nous avons acheté une télé­vi­sion pour Clau­dette, 82 ans qui n’en avait plus. Une aide pour pallier la soli­tude ! 

Marie-Chan­tal Fagot, Haute – Marne (52)  


Jour 27

“On voulait parta­ger avec vous que malgré le confi­ne­ment on conti­nue à mener nos actions et à aider ceux qui en ont besoin.”

 


Jour 28

Un geste de loin, un sourire, pour toujours prendre soin des autres .

En plus d’un coup de télé­phone, il est possible pour certaines personnes de se mettre à la fenêtre en les préve­nant juste avant de venir et ainsi on peut se faire un petit “coucou” de la main et se faire un sourire ! Un simple geste qui nous fait à tous beau­coup de bien.

Annick Huffling, Haut de Seine – (Fonte­nay-aux-Roses) 


Jour 29

“On prendre le temps de discu­ter un peu, de les regar­der et puis de se dire “voilà on est venu vous voir et on est venu vous soute­nir durant cette période diffi­cile.” Ça on peut le faire, on peut tous le faire.”

Didier, Paris

 


Jour 30

Dons de 50 tablettes pour les rési­dents des établis­se­ments du grand Nîmes !

A la suite de l’ap­pel lancé par la Fonda­tion de l’Ins­ti­tut Médi­ter­ra­néen des Métiers de la Longé­vité, pour enga­ger une lutte contre la soli­tude en EHPAD et ainsi offrir 50 tablettes pour les rési­dents des Etablis­se­ments du Grand Nîmes, les équipes du dépar­te­ment du Gard de la SSVP ont décidé de s’im­pliquer dans cette démarche soli­daire avec un apport finan­cier de 5.000 € repré­sen­tant les 20 % du coût global du projet. 

Jean-Marc Soulas – Le Gard 


Jour 31

Et dans ce contexte on a réflé­chi à la meilleure façon de rester en contact avec eux. (…) On prépare régu­liè­re­ment des petits mots, avec un petit texte person­na­lisé, un message, et puis quelques photos, quelques dessins qu’on met ensemble.

 


Jour 32

Récu­pé­ra­tion de produits et distri­bu­tions de denrées distri­buées par les béné­voles de la SSVP

Trente familles repré­sen­tant une centaine de personnes aidées se sont présen­tées, vendredi matin à l’es­pace Leclerc. 

Leurs objec­tifs récu­pé­rer les produits secs et savons distri­bués par les équipes de béné­voles de Tassin. 

150 personnes ont été nour­ries à l’issu de cette initia­tive.

 « On déci­dera au dernier moment, les choses peuvent chan­ger telle­ment vite ». Explique Odile Landron quant à la pour­suite de cette initia­tive dans une quin­zaine de jours.

Odile Landron  Béné­vole du Tassin-la-Demi-Lune ( 69 )


Jour 33

Pour rompre le confi­ne­ment de Pascale, la personne que je visite habi­tuel­le­ment, j’ai tablé sur une vidéo que nous regar­dons ensemble.

Helene Dubois


Jour 34

Télé­phone et échange qui réchauffe les cœur des personnes victime de patho­lo­gies lourdes

Philippe de Livo­nière, visite trois personnes avec des patho­lo­gies lourdes toute l’an­née.

Avec le confi­ne­ment, les visites sont réduites pour la protec­tion de tous. 

Tous les deux jours, Philippe télé­phone afin de s’as­su­rer du bien être des personnes qu’ils accom­pagnent. Un échange qui permet de pallier à la soli­tude et qui redonne espoir.

D’autres écoute le chape­let sur KTOtv ou RCF et sont en union de prière avec le petit livret de spiri­tua­lité 2013–2014 et d’autres années et la revue Ozanam.


Pour ceux qui ont été béné­voles et qui sont confi­nés en ehpad et en foyer-loge­ment.
Un livret et des revues sont mis à dispo­si­tions dans ces établis­se­ments.

Philippe de Livo­nière de la Sarthe 


Jour 35

Clara, jeune béné­vole de Toulouse, vous explique comment se déroule la prépa­ra­tion des colis alimen­taire jusqu’à la livrai­son avec Robin, jeune étudiant qui part les livrer aux familles.


Jour 36

Nous sommes en Union de prières pour le monde carcé­ral

Au bon Larron plusieurs initia­tives ont vu le jour durant la période de confi­ne­ment. 

– Prier pour le monde carcé­ral, notam­ment grâce aux inten­tions de prière envoyées (n’hé­si­tez pas à les deman­der à Michel Foucault : priere.bonlar­ron@g­mail.com)
– multi­plier les lettres quand on est déjà corres­pon­dant
– dire à son desti­na­taire détenu qu’il peut parler de notre service de corres­pon­dants à ses codé­te­nus
– propo­ser à son inter­lo­cu­teur détenu de figu­rer sur la liste des appels télé­pho­niques auto­ri­sés, d’au­tant que la prison offre des forfaits télé­pho­niques

Pour deve­nir corres­pon­dant adres­sez-vous au secré­ta­riat du Bon Larron : secre­ta­riat.bonlar­ron@g­mail.com

La situa­tion n’em­pêche pas au résident actuel de notre maison d’hé­ber­ge­ment à Auffar­gis dans les Yvelines d’être visité régu­liè­re­ment au moment du ravi­taille­ment par deux béné­voles alter­na­ti­ve­ment en atten­dant que soit possible la rencontre de nouveaux candi­dats à notre accom­pa­gne­ment…

Pour en savoir plus sur le Bon Larron, asso­cia­tion affi­liée à la SSVP : http://bonlar­ron.org/

Aude Simeon de l’as­so­cia­tion spécia­lisé Le Bon Larron 


Jour 37

Comme on ne pouvait plus faire de restau­ra­tion et bien on s’est dit nous on a un stock alimen­taire, donc il faut pouvoir l’uti­li­ser donc on va faire de la distri­bu­tion alimen­taire tous les matins pendant les jours de semaine

 

 


Jour 38

Distri­bu­tions Gour­mandes sur des tables Garnies

Jeanne Meril­hou ainsi que les béné­voles des hautes Pyré­nées font entrer les personnes vulné­rables une par une avec les protec­tions adéquates. 

Sur ces tables sont dispo­sés quelques denrées alimen­taires comme des fruits, des barres de céréales.

Mais égale­ment des paniers repas, soigneu­se­ment prépa­rée par les béné­voles est emporté par chaque personne dans le besoin. 40 repas ont été empor­tés par des sans-abris, des migrants, des prison­niers des personnes en situa­tion de préca­ri­tés. 

Les équipes des Hautes Pyré­nées ont main­tenu leur système de douche avec la plus grande précau­tion pour la protec­tion de tous ! 

Jeanne Meril­hou des Hautes Pyré­nées


Jour 39

Mary­lène, qui travaille en EPHAD, et sa fille Mariette, chef scout, ont pris l’ini­tia­tive de lancer un défi aux jeunes scouts en leur deman­dant d’écrire des lettres ou faire des dessins pour les personnes isolées de l’EH­PAD.

 

 


Jour 40

Livrai­sons d’ur­gence pour les personnes en situa­tion de préca­rité

A Valence les béné­voles assurent les livrai­sons urgente pour les personnes en situa­tion de préca­ri­tés. Un maga­sin parte­naire est mis à dispo­si­tion pour reti­rer les produits frais ! 

Antoine Gaudenz – Valence (26)


Jour 41

Perma­nence d’écoute télé­pho­nique pour les personnes isolés

Cécile à Monté­li­mar se mobi­lise pour mettre sur pied un suivi “ aide aux isolés “ un dispo­si­tif de perma­nence d’écoute télé­pho­nique ! 

Cécile Prothon – Monté­li­mar (26) 


Jour 42

Nous vivons cette période parti­cu­lière de façon très frater­nelle

Fran­cis nous présente les diffé­rentes actions menées durant cette période de confi­ne­ment.

 


Jour 43

Des petits mots glis­sés sous le paillas­son

Parfois il n’est pas facile pour les béné­voles de propo­ser leur aide aux personnes dans le besoin.  

C’est pourquoi, les béné­voles de Fonte­nay-aux-Roses, glisse des petits mots sous les paillas­sons pour propo­ser leurs aides.  

En exemple faire des courses, propo­si­tion d’ap­pel télé­pho­nique voilà des petites astuces pour se rendre utile !   

Annick Huffling, Fonte­nay- aux Roses  


Jour 44

Ils ont fait un don de 500 euros à Saint-Vincent-de-Paul. Et donc, pour nous c’était impor­tant d’uti­li­ser ce don dans de l’ali­men­taire

 

 


Jour 45

La SSVP a financé grâce aux dons de Ouest France soli­da­rité du maté­riel infor­ma­tique pour permettre aux familles en situa­tion de préca­rité de se connec­ter sur le web, et de conti­nuer l’école dans de bonne condi­tions pour les enfants.

 


Jour 46

Pous­ser la chan­son­nette sous les fenêtres des rési­dents, échan­ger des mots par télé­phone, dépo­ser des colis person­na­li­sés … Marie – Pierre témoigne des belles initia­tives des béné­voles de Lyon

 

 


Jour 47

En parte­na­riat avec ” Les suspen­dus de Rennes ” les béné­voles d’ Ille-et-Vilaine mettent en place une initia­tive à double sens : ” Si tu peux, tu mets… Si tu ne peux pas, tu prends ! ” Donner et/ou rece­voir, une belle initia­tive soli­daire

 


Jour 48

La meilleure charité et la plus belle bien­veillance en ces moments de pandé­mie, est de rester confi­nés mais en contact.    

À Angers, quelques béné­voles ont l’oc­ca­sion de conti­nuer les visites auprès des personnes isolées ou vivant dans la rue. Par télé­phone ou pour faire des courses.  

Le main­tien des proches grâce à des outils tel que les réseaux sociaux ou les appels vidéo sont aussi primor­diaux en cette période diffi­cile. Malgré l’im­puis­sance face à cette crise sani­taire les béné­voles d’An­gers mettent en place plusieurs actions à distance. 

La prière prend une tour­nure toute spéciale : notre rythme, notre temps, la confiance, la charité, tout cela est réorienté plus encore sur le Christ et nous essayons dans cette tempête médi­cale mais aussi média­tique de rester centrer sur Dieu. 

Made­leine Rondot Angers  

 


Jour 49

Pendant ce temps de confi­ne­ment on se rend compte que les personnes sont vrai­ment seuls et que dans le milieu rural les personnes appellent de plus en plus à l’écoute le temps d’un moment .. parce que nous sommes les seules personnes à qui elles peuvent parler

Manuel REMOND

 

 


Jour 50

La soli­tude, ce n’est pas être physique­ment seul mais c’est le senti­ment que personne ne pense à vous

Nous explique J.Desjoyaux . Les béné­voles de Marseille orga­nisent tous les deux jours, des appels télé­pho­niques pour pallier la soli­tude des personnes isolés. 

Un coup de fil fréquent est fina­le­ment très récon­for­tant. Il y a là, matière à réflexion dans l’ap­proche des rencontres avec les personnes accom­pa­gnées. 


Jour 51

Le 11 mai la vie va reprendre donc nous recher­chons des gens dispo­nibles. 

Après une première étape diffi­cile, aujour­d’hui une deuxième étape approche, celle du décon­fi­ne­ment ..

Les jeunes de Paris appellent à la mobi­li­sa­tion et au soutiens.


Jour 52

Plate­forme d’ur­gence à Bordeaux

Dans un premier temps, les équipes de béné­voles ont mis en place des distri­bu­tions alimen­taires conjoin­te­ment avec les mairies et CCAS. Une distri­bu­tion en rajou­tant des tickets service + portage par la mairie. 

Une plate­forme d’ur­gence a été créer. Les béné­voles peuvent aller à la banque alimen­taire et faire livrer gratui­te­ment par une entre­prise de livrai­son, les béné­fi­ciaires. 

Il n’y a que du sec et des légumes, les équipes de béné­voles rajoutent des tickets service pour les achats de frais. Elles ont sélec­tionné les familles les plus fragiles.  

Les béné­voles de Bordeaux essayent de mettre en place une plate­forme pour les prises de rendez-vous, facile d’uti­li­sa­tion et adap­tée à tous.  

Bordeaux – Martine Trais­sac –33 


Jour 53

Appel et distri­bu­tion alimen­taires à Paris

Les équipes de béné­voles télé­phonent aux personnes afin de conti­nuer la distri­bu­tion sous forme de colis alimen­taires. 120 familles aidées en temps normal, limi­tées à 15 à ce jour faute de béné­voles ..

Les équipes de béné­voles de la Butte aux Cailles à Paris, appellent à la mobi­li­sa­tion géné­rale des plus jeunes ! Scouts, étudiants etc N’hé­si­tez pas à parta­ger large­ment !


Jour 54

Je pense qu’il y aura encore des besoins de volon­taires pour distri­buer des colis alimen­taires. N’hé­si­tez pas à vous faire connaître il y a toujours de quoi occu­per les bonnes volon­tés

 


Jour 55

Gaétan, respon­sable du pôle migrants de la Confé­rence jeunes de Toulouse. Nous explique comment face à la crise sani­taire, les béné­voles s’adaptent et conti­nuent de mener des actions soli­daires.

 


Jour 56

Michel Lanter­nier, Président de la Société de Saint-Vincent-de-Paul, souhaite remer­cier l’en­semble des béné­voles qui se sont enga­gés sans relâche, avec adap­ta­bi­lité et créa­ti­vité pour aider les personnes en situa­tion diffi­cile en cette période de crise. #quaran­taide #decon­fi­ne­ment #Covid19