Jeanne Lorne, membre de la Fonda­tion Frédé­ric Ozanam, présente les objec­tifs de la Fonda­tion Frédé­ric Ozanam. Cette struc­ture joue un rôle clé dans la réali­sa­tion de projets visant à accom­pa­gner les personnes en situa­tion de préca­rité. Les dons à la Fonda­tion sont déduc­tibles à 75% de l’IFI ou à 66% de l’IR.

Qu’est-ce que la Fonda­tion Frédé­ric Ozanam ?

La Société de Saint-Vincent-de-Paul a souhaité créer une fonda­tion pour mobi­li­ser de nouvelles caté­go­ries de dona­teurs, comme des mécé­nats d’en­tre­prises, des grands dona­teurs, etc. Le but était de conti­nuer de finan­cer des projets qui aident les personnes dému­nies mais avec un rayon d’ac­tion plus impor­tant. La Fonda­tion Frédé­ric Ozanam est là pour soute­nir des œuvres présen­tées par des Asso­cia­tions spécia­li­sées de la Société de Saint-Vincent-de-Paul mais aussi des projets présen­tés par d’autres asso­cia­tions ainsi que des études et des recherches. 

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Quels sont les projets la Fonda­tion Frédé­ric Ozanam ?

Nous avons toujours essayé d’avoir des conte­nus directs à chaque fois qu’il y a eu des demandes, ce qui est inté­res­sant pour l’as­so­cia­tion. Nous avons suivi un certain nombre de projets variés et à long terme. Je pense en parti­cu­lier à La Salle à Manger, situé dans le quar­tier de la Défense à Paris, un restau­rant social et soli­daire qui accueille les personnes accom­pa­gnées et les sala­riés de la Défense.

Comment main­te­nir le lien avec les parte­naires ?

Nous avons eu des rencontres très inté­res­santes et nous essayons de garder des liens person­nels au-delà du lien finan­cier, puisque c’est l’in­té­rêt de cette fonda­tion, et c’est aussi le but même de la Société de Saint-Vincent-de-Paul. Aussi bien par rapport à ses parte­naires que par rapport aux actions qui lui sont propres. Il y a quand même toujours cette idée de l’hu­main derrière ces projets et qui compte pour nous.