Messe télévisée sur le Jour du Seigneur depuis Nîmes

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Dimanche 12 octobre, à Nîmes, à l’oc­ca­sion des 190 ans de la première équipe de béné­vole (hors Paris), le Jour du Seigneur retrans­met­tait la messe en direct sur France 2.

La Société de Saint-Vincent-de-Paul sur Le Jour du Seigneur

Les télé­spec­ta­teurs de France 2 n’ont pas pu les manquer: ce dimanche d’oc­tobre, les béné­voles de la Société de Saint-Vincent-de-Paul étaient bien visibles avec leurs gilets et foulard bleus, dans l’église Saint-Paul de Nîmes (30). Il faut dire que le programme de télé Le Jour du Seigneur retrans­met­tait la messe en direct. Une belle façon de célé­brer les 190 ans de la première équipe de béné­voles fondée après Paris (1833). Sous les portraits de vincent de Paul et de Frédé­ric Ozanam, le p. Arnaud Montoux (diocèse de Sens-Auxerre) a concé­lé­bré la messe avec ses confrères, dont le p. Jean-François Desclaux, accom­pa­gna­teur spiri­tuel natio­nal de la Société de Saint-Vincent-de-Paul.

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Quelques minutes avant la messe, David Milliat rece­vait en plateau à Paris, un jeune béné­vole de l’as­so­cia­tion. À l’heure où la soli­da­rité parait parfois manquer, le témoi­gnage de Pierre Beir­naert a montré que les jeunes s’en­gagent pour les autres, portant la charité à chaque coin de rue pour rendre la société plus frater­nelle.

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Un rendez-vous histo­rique et convi­vial

Durant tout le week-end, l’équipe de Nîmes a proposé au grand public une expo­si­tion et des confé­rences pour mieux connaître l’his­toire de l’as­so­cia­tion et ses actions. Chris­tian Dubié, président de l’équipe dépar­te­men­tale du Cher a retracé la vie courte mais intense du fonda­teur, le bien­heu­reux Frédé­ric Ozanam. Serge Castillon, président natio­nal était égale­ment présent.

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Pour ce rendez-vous très spécial, les membres du Conseil d’ad­mi­nis­tra­tion de la Société de Saint-Vincent-de-Paul ont orga­nisé un conseil d’ad­mi­nis­tra­tion sur place. Dans une ambiance studieuse mais chaleu­reuse, tous ces béné­voles, impliqués dans la gestion natio­nale de l’as­so­cia­tion, ont pris le temps d’échan­ger et d’avan­cer sur les dossiers en cours.