5.1 Une étroite rela­tion

Fidèles à la claire inten­tion du bien­heu­reux Frédé­ric Ozanam et de ses compa­gnons, la Société, et chaque Vincen­tien, main­tiennent des liens étroits avec la hiérar­chie de l’Église catho­lique. C’est ce libre respect pour la hiérar­chie qui donne lieu à une coopé­ra­tion fluide, mutuelle et harmo­nieuse.

 

5.2 De son auto­no­mie

La Société est juri­dique­ment auto­nome, en ce qui concerne son exis­tence, sa consti­tu­tion, son orga­ni­sa­tion, ses règles, ses acti­vi­tés et son gouver­ne­ment inté­rieur. Les Vincen­tiens choi­sissent libre­ment leurs respon­sables et la Société gère son patri­moine de façon auto­nome, confor­mé­ment à ses propres statuts et à la légis­la­tion de chaque pays.

5.3 Recon­nais­sance morale

La Société recon­naît le droit et le devoir de l’évêque catho­lique, dans son diocèse, de confir­mer que rien dans les acti­vi­tés de la Société n’est contraire à la foi ni à la morale. La Société, chaque fois que cela sera possible, informe annuel­le­ment les évêques diocé­sains de ses acti­vi­tés, en témoi­gnage de commu­nion ecclé­siale.